Nostalgie Boutique
Bonjour à toutes et tous,
De retour sur Canalblog car je suis enfin en vacances ...
Et oui l'année a été longue et studieuse et à présent place au shopping :
http://nostalgie.blogoshop.com
Bonne visite à toutes et tous et @ très vite !
Bonne vacances également ;-)
Le 02 février 2007 au théâtre Sébastopol,
Le 02 Février 2007 au théâtre Sébastopol,
J'ai vérifié au moins trois
fois si je l'avais,
Le fameux billet pour aller la
voir chanter,
Ça faisait cinq douloureux mois
que j’attendais,
Avec ma drôle de mine de maudits français.
Comme un gosse qui attend noël,
Comme un enfant aux cheveux
gris,
Je n’avais qu’une pensé en
tête,
C’était que ça soit Vendredi.
Pour voir chanter avec
justesse,
Mes joies, mes peines et mes
faiblesses,
La nostalgie et l'émotion,
Avec des rimes, avec des sons.
Quand je l'écoute, c'est
enivrant,
Goutte après goutte, chant
après chant,
Elle m'emmène vers un monde à
part,
C'est mon paradis, quelque
part.
Vos chansons sont comme des
trésors,
Comme des perles d'émotions,
Votre voix enivre mon corps,
Et me fait vivre une
passion.
Une fois assis à la bonne
place,
J’ai attendu que le temps
passe,
J’avais une demi-heure
d’avance,
Et une bonne dose d'impatience.
Pendant trois heures, elle
s’est livrée,
Avec tant de simplicité,
Mettant à nu ses émotions,
Et nous habillant de frissons.
Elle est naturellement jolie,
Joliment classe, rimes en
folies,
A la place de l’école de mimes,
Je verrais bien l’école des
rimes.
Comme un gosse ouvrant ses
cadeaux,
Sourire aux lèvres, ails dans
le dos,
Elle a chanté avec son cœur,
Elle a chanté cette grande dame,
Et le public chantait par cœur,
Le chant du coq, le chant de
l'âme.
Vos chansons sont comme des
trésors,
Comme des perles d'émotions,
Votre voix enivre mon corps,
Et du temps je perds la
notion.
Toutes les bonnes choses ont une
fin,
Mais cette fin-là me plaisait
moins,
Alors pour peut-être vous voir,
vous,
La porte de "l'entrée des
artistes",
C'était le second rendez-vous.
Après trente minutes
collectives,
Un grand costaud ouvra la
porte,
Puis il poussa d'une voix
forte,
Entrez dans le calme, elle
arrive.
Me voilà donc à quelques
mètres,
De rencontrer, cette fille-là,
En préparant, pas après pas,
Deux ou trois phrases à lui
transmettre.
J'avais mille choses à lui
dire,
Plus qu’un mètre ou deux à
franchir,
Enfin me voilà devant elle,
Et mes phrases manquaient à
l'appel.
Vos chansons sont comme des
trésors,
Comme des perles d'émotions,
Votre voix enivre mon corps,
Ne perdez pas l'inspiration.
Drouart
Fabien,
Le 05 Février 2007.
Pour de bon,
Pour de bon,
Dans ce train, il était, assis côté fenêtre,
Le poing sous le menton et cette pensée en tête :
Que veut-il dans la vie, que vaut-il dans son cœur,
Faut-il qu’il s’enfuit et dans sa gorge cette peur.
Il regarde cette vue qui défile sous ses yeux,
Il regarde sa vie qui s’enfuit peu à peu.
Il se dit que peut-être, dans ce grand et même train,
Assis côté fenêtre, se chante le même refrain.
Il voyage en pensées et navigue en question :
« Quelqu’un peut-il m’aider à m’échouer pour de bon.
Je voudrais me garer, arrêter l’ascension.
Je ne suis pas compliqué, mais j’ai beaucoup de questions.
Je suis trop fatigué, où est la solution ? »
Cet homme n’a pas de toit, pas de clef dans la poche,
Il a juste comme toi, le cœur qui flambe dans le torse,
La flamme de la passion ou celle de l’amour,
Appelle l’a comme tu veux, cette flamme dur toujours.
Il voudrait bien un jour que cette flamme solitaire,
Trouve enfin une main douce pour faire une douce paire.
Comme toi, comme vous il n’est pas compliqué,
Il est peut-être fou … qui ne l’a jamais été ?
Ne dit-on pas qu’on aime, qu’on aime à la folie,
Même si certains en rient, il s’accroche à ce rêve.
Quand il descend du train, il repense à sa vie,
Il baisse la tête et pleurs, de cette trop grande envie.
Où elle est, où vit elle, celle qui à la main douce,
Celle qui doucement viendrait, me dire d’une voix douce :
« Allez viens, n’est pas peur, je t’emmène en voyage,
Montons dans ce grand train et partons pour de bon,
On trouvera un terrain pour bâtir une maison,
On aura un jardin et un joli garçon.
Tu verras on s’ra bien, n’est pas peur allez viens,
Tu verras on s’ra bien, n’est pas peur allez viens,
…
On s’installe pour de bon !
Fabien, le 25 novembre 2006.
Nostalgie d’un grand garçon,
Nostalgie d’un grand garçon,
Comment ça se passe à la maison,
Depuis qu’je ne suis plus là,
Depuis que, comme un grand garçon,
Je suis partis d’chez moi.
Est-ce que ma chambre s’est transformée,
En chambre d’accueille pour les amis,
Est-ce que le dimanche en soirée,
La cheminée prend encore vie.
Et quand tu rentres du travail,
Allumes-tu la télévision,
Peut être tu dors, peut être tu bailles,
Peut-être écoutes-tu cette chanson.
L’époque de « tous à la maison »,
Est loin maintenant, loin de nous,
Mais s’en rappeler que c’est bon,
La nostalgie d’un grand garçon.
Le cour de la vie, le temps qui passe,
A laissé en moi quelques traces,
Des traces de joie, des traces de peine,
Des traces de ces parents, que j’aime.
Vous refaite votre vie à vous,
Je construis ma p’tite vie à moi,
Et même si je suis loin de vous,
Ces souvenirs resteront là.
Repensez-vous aux soirs d’hivers,
Repensez-vous aux jours d’été,
Que l’on passait ensemble naguère,
Et que l’on ne peut oublier.
Jeux de sociétés en famille,
Jeux télévisés en mangeant,
Jouer aux cartes, jouer aux billes,
Les serpentins du nouvel an.
L’époque de « tous à la maison »,
Est loin maintenant, loin de nous,
Mais s’en rappeler que c’est bon,
La nostalgie d’un grand garçon.
Fabien 19/11/06
Petite fille,
Ça ne fait que quelques heures,
Qu’on m’a annoncé,
Le jour de la sainte Fleur,
Quelle belle arrivée.
Regarde petite fille,
Regarde tes parents,
Comme ils ont les yeux qui brillent,
En te regardant.
Bienvenue petite fille,
Dans la fraîcheur de l’automne,
Dans la chaleur de cette vie,
Dans nos cœurs de petits Hommes.
« Ma petite tchoutchounette »,
Surtout ne t’inquiètes pas,
Je t’expliquerais en cachette.
Si parfois t’as le cafard,
Va retrouver ton papa,
Dis-lui de prendre sa guitare,
Et tu retrouveras la joie.
Bienvenue petite fille,
Dans la fraîcheur de l’automne,
Dans la chaleur de cette vie,
Dans nos cœurs de petits Hommes.
Si parfois le dimanche soir,
Tu n’arrives pas à dormir,
Maman te racontera l’histoire,
Du méchant loup, de l’oiseau-lyre.
Un doudou au pied du lit,
Des lettres en bois devant ta porte,
La chaise haute fraîchement vernis,
Il ne manquait que toi, Charlotte.
Bienvenue petite fille,
Dans la fraîcheur de l’automne,
Dans la chaleur de cette vie,
Dans nos cœurs de petits Hommes.
A table !
À table !
N’est il pas royal,
En terrasse, à une table,
De se boire l’apéro,
Avec sa bande de potos.
On raconte notre semaine,
On s’avoue nos problèmes,
Cacahuètes, bières pressions,
Encore une tournée, garçon !
N’est il pas agréable,
De ce mettre à table,
Avec un bon verre de vin,
Qu’on trinque avec entrain.
Un plat de charcuterie,
Ca fait toujours envie,
Jambon et saucisson,
Pâté et cornichon.
N’est il pas appréciable,
Quand ce trouve sur la table,
La fondue bourguignonne,
Qu’elle est belle, qu’elle est bonne !
Chacun a sa couleur,
Même si au bout d’une heure,
Y’a plus de pique, que d’personne,
Qu’elle est belle, qu’elle est bonne !
N’est il pas le bienvenue,
Après 2 heures de fondue,
Le ptit café bien serré,
Qui nous fait digérer.
Un café ou une vodka,
Un cognac ou un calva,
On en rie, on en pleurs,
Discussions jusqu'à plus d’heure.
N’est ce pas formidable,
Tout ces moments à table,
Recharges alimentées,
Décharge d’humanité !
Fabien.
Dédicace,
A mon retour de vacances, j'ai eu une agréable surprise en ouvrant ma boîte aux lettres. Lynda Lemay a répondu à un e-mail que je lui avait adressé quelques mois auparavant ... Alors, du fond du coeur : Merci Lynda !